dit « Kang »
Diplômé en génie mécanique, il hésite encore un peu quand on lui demande de désigner un maître-cylindre sur sa Béhème ! Mais pour lui l’essentiel est ailleurs : construire son propre mythe, s’évader avant tout, entre vieux camarades de préférence.
dit « le CHARRET »
Fidèle, il a posé une fois son séant sur une Béhème et ne l’a plus quittée… poussant l’identification à son totem à l’extrême, il est un grand amateur de myrtilles des Alpes. Il a la redoutable particularité de pouvoir les ramasser tout en continuant à rouler.
dit « Monstretesse »
Preuve vivante que le KM est à part…. Fin linguiste à l’origine d’un nouveau dialecte accessible à quelques initiés choisis, il sait passer une frontière suisse sans papiers, sans permis et sans assurance, tout simplement parce qu’il le faut et qu’il n’a pas le choix.
dit « Chaton »
Auteur de ces descriptions, il s’accorde le privilège de rester discret quant à son profil… il précise cependant sans fausse modestie qu’il est le seul membre du KM à avoir obtenu la note parfaite en catégorie « viandage sur route mouillée sans roulettes».
dit « Léon »
Autrefois surnommé Gino, il a toujours renié ce surnom ritalisant lui préférant celui d’Ayatollah du flat-twin pour son intransigeance Béhèmiste et sa maîtrise de la bête. Il revendique le titre de Chief Happiness officer quand l’environnement extérieur au KM lui lâche la grappe.
dit « Jaja »
Représentant du KM en Duché du Luxembourg, il en a le flegme et la finesse, sauf quand il s’agit de s’arsouiller au gros rouge avec de vieux camarades… il redevient alors la bête à cornes qu’il a toujours été et peut parcourir des milliers de kilomètres sous la pluie sans s’arrêter.
dit « Barry White »
He’s a French doctor, a very stupid doctor. Homme des plaines à l’origine il s’est mué en expert exigeant de tout ce qui permet de partir d’en bas pour arriver en haut et de recommencer dans l’autre sens.
dit « Galipette »
Notre meilleur agent à l’étranger… en dire plus serait prendre un risque inconsidéré. Les contingences matérielles sont pour lui secondaires, voire vulgaires ; la vérité est toujours ailleurs, là où on ne l’attend pas.